Vous avez dit « Tango » ?!
Pour ce nouveau programme, le Duo Ambre emmène son public aux portes de l’Argentine, mettant à l’honneur la musique du célèbre compositeur de tango Astor Piazzolla.
L’Histoire du Tango transportera le spectateur à travers le XXe siècle, mettant en valeur l’évolution de cette musique dont les nuances et caractères ne cessent d’évoluer. Le violon et la harpe mettront en exergue toute la sensualité du tango dans la Milonga del Angel. Pour Las cuatro estaciones, les deux musiciennes se sont inspirées de différentes versions existantes, dont une écrite pour orchestre à cordes par Desyatnikov. En alliant les techniques classiques aux techniques plus contemporaines, Anne et Fanny déploient ainsi l’éventail de sonorités de leurs instruments, mis en valeur dans autant de passages virevoltants que dans des moments d’émotion intime et sensible.
« Ode à la rêverie »
« Grâce aux mélodies envoutantes des compositeurs français ainsi qu’aux textes de poètes inspirés, laissez votre esprit s’évader et vos pensées vagabonder… »
Les deux musiciennes du Duo ambre, douces rêveuses mais avec les pieds sur terre, accordent leurs instruments afin d’emporter le public dans un programme où musique et poésie riment avec rêverie. Pour un moment tout en émotion et en intimité, elles ont sélectionné de belles pages du répertoire français. L’occasion pour les auditeurs de redécouvrir des mélodies célèbres, composées pour voix et piano et arrangées dans une version originale pour violon et harpe, et de découvrir d’autres pièces moins connues qui invitent le public à s’abandonner à la rêverie. Tour à tour, les deux artistes se partagent la lecture des poèmes qui illustrent chaque pièce du programme. C’est ainsi qu’opère la magie…
« Habanera », sonorités espagnoles
De la France à l’Espagne en passant par l’Angleterre et les Etats-Unis, le Duo Ambre interprète un répertoire varié et coloré où le rythme entêtant de la Habanera (œuvres de Ravel, Chaminade) transporte le spectateur sous le soleil de l’Espagne. Des œuvres à 4 mains aux pièces solistes, les musiciennes allient virtuosité et romantisme pour faire voyager l’auditeur au son des talons des danseuses de Flamenco (Henson-Conant) révélant le caractère de feu des andalouses, à l’image de Carmen (Bizet), et narrant leurs passions amoureuses, torrides ou destructrices (De Falla).
Parenthèse poétique, le temps d’un morceau, Fanny délaisse sa harpe et enfile le costume de conteuse dans une pièce pour violon et récitant qui, s’adressant aux petits comme aux grands, raconte l’histoire de Ferdinand, un taureau qui préfère humer les fleurs de son pré plutôt que d’aller se battre à la corrida de Madrid.